Le doute ?

Bonjour, je suis nouveau j'espere que je suis dans le bon post.

Je doute sur le reiki pourtant je veux y croire.
Est ce que avoir le doute peut influencer le reiki,faire un blocage?
j'ai été initié mais je voulais peut etre attendre plus et cela a peut etre augmenter mon doute sur le reiki.
Qui peut m'aider ou faire comment pour ne plus douter ?
Comme je l'ai marquer dans ma presentation ,je suis comme st thomas je crois a ce que je vois ou ressens du moins a ma facon.
Pas facile,j'ai lesprit ouvert à tout,mais je reste lucide, et je voudrai pas croire a quelque chose qui existerai pas ou serai u neffet placebo ou autres.
Mais avoir l'esprit trop ouvert et rester trop lucide peut etre mauvais pour tout cela ?

Apres cest un lacher prise non?

Je vais reprendre ma meditation ,j'espare que cela va maider
merci de votre aide
leqi

leqi a écrit:

Bonjour, je suis nouveau j'espere que je suis dans le bon post.

Je doute sur le reiki pourtant je veux y croire.
Est ce que avoir le doute peut influencer le reiki,faire un blocage?
j'ai été initié mais je voulais peut etre attendre plus et cela a peut etre augmenter mon doute sur le reiki.
Qui peut m'aider ou faire comment pour ne plus douter ?
Comme je l'ai marquer dans ma presentation ,je suis comme st thomas je crois a ce que je vois ou ressens du moins a ma facon.
Pas facile,j'ai lesprit ouvert à tout,mais je reste lucide, et je voudrai pas croire a quelque chose qui existerai pas ou serai u neffet placebo ou autres.
Mais avoir l'esprit trop ouvert et rester trop lucide peut etre mauvais pour tout cela ?

Apres cest un lacher prise non?

Je vais reprendre ma meditation ,j'espère que cela va maider
merci de votre aide
leqi

Bonjour,
Le doute est excellent et salutaire. Il ne s'agit dans de croire dans le Reiki mais d'en faire l'expérience.
Tu trouveras dans la partie du site où Corinne expose son approche du Reiki, une interview du Vénérable Usui, où le Dr traite de cette question de "croire" dans le Reiki : il dit NON, il ne faut pas croire.
Aucune personne ne devrait être formée au Reiki sans avoir lu le Hikkei, le livre du Dr Usui. C. Bouty le fait étudier en détail et cela évite bien des idioties : c'est un basique du Reiki où tout est dit
Tu peux demander gratuitement en ligne "Reiki, postulats scientifiques et études cliniques" de P. Treffainguy en cliquant sur FERTIL plus haut sur cette page ou en le demandant à Corinne Bouty. Dans cet ouvrage, tu auras une explication scientifique du Reiki et les études effectuées en laboratoire et dans les hôpitaux. sacghes également que chez 40% des gens, le sucre en poudre fonctionne aussi bien que les médicaments chimiques. L'effet placebos est aussi un outil thérapeutique et c'est vraiment une saleté des médecins de complexer les patients en affirmant cet effet pour conclure qu'ils sont soit de faux malades, soit des imbéciles prêt à tout croire. La santé est bien plus que de la chimie et de la mécanique osseuse et musculaire ; ce qu'ils refusent de réaliser mais que les médecines traditionnelles savaient depuis longtemps.

Bonne lecture et bonne méditation, c'est aussi excellent.

Un conseil : utilises ton mental pour analyser, pour faire l'expérience, ouvres toi à elle. Le mental est un outil utile pour analyser, pas pour ressentir. Il y a trois zones dans le corps : la tête pour analyser, le coeur pour choisir et le ventre pour sentir. N'inverses pas les fonctions : on n'aime pas avec le ventre, c'est la passion, ni avec la tête, c'est le calcul. Sens le Reiki avec ton ventre, analyses le avec ta tête et choisis avec ton coeur.

A la suite l'introduction du livre :
Le Reiki a été présenté jusqu’à présent selon l’expérience et les vues de spiritualistes, généralement issus du mouvement californien du new age. Les considérations de ces auteurs étaient parfois agrémentées d’emprunts au Bouddhisme et à l’Hindouisme. Toutefois, nous avons été les premiers, avec Patrice gros et Corinne Bouty, deux maîtres et enseignants français, à tenter de présenter le Reiki selon une optique traditionnelle. Nous proposons, dans ce nouvel ouvrage, de considérer le Reiki d’un point de vue moderne, scientifique et clinique. Nous espérons que ce travail d’analyse soit en mesure d’apporter des explications rationnelles à la technique initiée et développée par le Dr Mikao Usui, il y a bientôt un siècle au Japon, et qui a connu depuis un essor mondial.

Généralement, il est vrai, nous ne souhaitons pas d’explication à ce qui nous est habituel et nous nourrissons des craintes parfois injustifiées ou excessives quant à ce que nous ignorons. Par exemple, nous trouvons le sucre agréable et nous ne nous préoccupons pas de savoir comment il est produit et encore plus rarement comment il agit sur notre corps pour susciter ce plaisir. Nous en absorbons machinalement, par bonheur ou habitude du goût, et rares sont ceux qui connaissent ses effets sur la chimie du corps, bienfaisants ou nocifs. De même, le Reiki est quelque chose de nouveau et d’inhabituel en Occident pour la plupart des gens. Aussi, il est normal qu’il suscite des interrogations et parfois des peurs.

De plus, lorsque nous ne connaissons pas encore une chose, nous avons tendance à juger cette chose en fonction de la personne qui nous le présente. Les représentants de commerce le savent qui soignent et adaptent leurs tenues vestimentaires à nos mécanismes psychologiques, hélas souvent assez primaires. Face au Reiki, la plupart des gens réagissent de même : ils jugent le Reiki selon l’apparence de la personne qui le pratique ou le professe ; ils ont rarement la sagesse de le juger quant à ses effets et exceptionnellement quant à sa valeur intellectuelle.

D’un point de vue logique, le plus honnête est sans doute d’observer les résultats du Reiki sur soi-même ou autrui ; et on peut renouveler l’expérience autant de fois que possible afin d’en avoir une idée la plus subjective possible. Si une personne en tire un bienfait, elle n’a plus besoin de preuves mais d’explications ; c'est à dire qu'elle peut alors dépasser sa subjectivité pour une vision objective du Reiki. Ce n’est qu’alors qu’elle peut valider son expérience du Reiki :
« oui, j’en ai fait l’expérience et en voici l’explication »,
ou mettre en doute cette expérience :
« oui, j’en ai fait l’expérience et voici l’explication que ce n’était qu’une illusion ou une tromperie ».

Deux choix s’offraient à nous pour fournir un essai d’explication au Reiki :

1° choix - une étude dans le cadre de la science traditionnelle, ce qui implique un acte de foi ou tout du moins de confiance dans les formes religieuses avancées en démonstration et leurs corollaires initiatiques ou alors une approche ethnologique, encombrant l’espace de réflexion de données historiques sans fin et de liens entre les diverses traditions spirituelles humaines.

2° choix - une étude dans le cadre de la science moderne, avec une approche expérimentale et un ou des postulats ; mais ce qui limite cette démarche aux études cliniques ayant donné lieu à des publications sur le sujet et aux axes de recherche formulés pour le moment dans le cadre des modèles existants de la science.

L’enseignement universitaire procède assez généralement de la sorte : un très court résumé des approches antiques, parfois méprisant et suffisant, est suivi de considérations scientifiques fondées sur des postulats et des expérimentations. Toutefois, on pourrait reprocher à ces deux domaines de trop limiter l’analyse. Conviendrait-il alors d’en universaliser les conclusions ? De les établir comme bases éthiques pour fonder son action et légitimer ses choix de vie ou même de simple survie ? On serait tenté de combiner ces deux approches comme dans le new age scientiste ou certaines formes irrégulières de la franc-maçonnerie (dont la plupart ont disparu) où la science et les traditions sont mises bord à bord pour étayer un raisonnement. Le résultat est rarement probant d’un double point de vue clinique et intellectuel.

Il existe donc d’innombrables objections à l’étude du Reiki, soit par la tradition, soit par la science, soit par les deux conjointement, que nous allons passer en revue ci-dessous. Après tout, on peut pratiquer le Reiki, en tirer des bénéfices dans le domaine de la santé, et ne pas vouloir s’interroger sur son origine, ses moyens d’action et ses explications scientifiques.

Première objection, certaines personnes, y compris dans les milieux scientifiques, n’accordent aucune valeur à la science médicale et à la biologie officielles depuis les découvertes de la Physique quantique :
« … la science a déjà tourné la roue ; non pas en relâchant ses exigences pour l’intégrité intellectuelle mais en insistant sur celle-ci. Débutant dans les années 1920, la physique nouvelle a impitoyablement commencé à démolir les modèles préconçus parce qu’ils ne rencontraient pas les données expérimentales. Au point que les mathématiques devinrent difficiles et les modèles invisibles. La biologie, la médecine et la psychologie ont tout simplement perdu le contact … Nous (le professeur Lucas Barbéris) pouvons ajouter qu’au point où la matière et l’énergie disparaissent ou se mêlent avec le vide absolu, la biologie, la médecine et la psychologie ont tout simplement perdu leurs fondations scientifiques, technologiques et culturelles. Dorénavant, elles résistent aux changements. Pris de leur point de vue, c’est une question de survie. Mais nous savons que ce n’est pas le cas. Et nous sommes de plus en plus nombreux. Nous sommes des scientifiques, des médecins, des mystiques, des philosophes, des biologistes, des physiciens et, le plus important, des patients et des êtres humains. Nous savons que les limites conventionnelles de la médecine, limites que même la médecine reconnaît, peuvent et doivent être dépassées. Et c’est ce que nous faisons. Comment ? Juste en acceptant le simple fait que les indescriptibles, inimaginables, incroyables conclusions choc de la Physique quantique et la relativité peuvent affecter la pratique de la médecine … aussi bien que notre vie de tous les jours »1.

Effectivement, depuis les découvertes de la physique nouvelle, les bases conceptuelles régissant la science moderne depuis la Renaissance et telles qu’elles découlaient des recherches de Newton ont été jetées à bas et démontrées comme des vues fausses ou partielles. Le quidam mesure d’ailleurs rarement les conséquences d’une telle révolution sur les sciences humaines, disciplines dont le milieu scientifique dit qu’elles ont « décroché » du processus scientifique, relevant maintenant de l’archaïsme, voire du charlatanisme et des croyances.

Deuxième objection, la mentalité « utilitariste » rejette la science moderne car cette dernière est élaborée sur une base empirique ; et rien n’interdit que ce qui a été pensé aujourd’hui en fonction de telle ou telle expérience ne soit remis en cause demain par une autre découverte et ceci sans fin ; ce qui n’est pas être sûr d’un point de vue méthodologique pour construire un raisonnement et en tirer des conséquences propres à motiver dans le temps telle ou telle action … sauf à adopter l’attitude de la girouette. Autant baser ses croyances sur les dires d’un informateur changeant sans cesse d’opinion.

Troisième objection, d’autres personnes, comme les progressistes, nient les explications des spiritualités en arguant que leurs méthodes, bien que les mêmes en tout lieu et temps, sont pseudo-scientifiques et que leurs explications font appel à l’ésotérisme et à la symbolique. Disciplines qu’ils raillent au nom de la modernité et de sa science … et qu’ils rejettent avec mépris dans les nuits de l’obscurantisme antique et des « magies ».

Quatrième objection, et pour d’autres enfin, les liens avec les religions de ces sciences traditionnelles les rendent odieuses à leurs yeux et suffisent à écarter l’approche symbolique. Il est certain que l’univers mental traditionnel est parfois difficile à saisir, même par les ethnologues et d’autant plus par les archéologues. De plus, les religieux n’ont pas toujours été à la hauteur des religions qu’ils prônaient et les initiations, à cause de leur caractère mystique, sont sujettes à caution, entourées de secrets et d’allégories parfois impénétrables pour le profane.

Nous devions donc présenter toutes les approches du Reiki, ce que nous avons fait au fil de nos ouvrages, parfois en les liant entre elles et parfois en les séparant consciencieusement afin de ne heurter aucun public.

Nous exploiterons, à la suite, diverses expériences cliniques et les postulats du Professeur Barbiéris, un cardiologue italien, professeur de Reiki. Toutefois, notons que ces postulats pourraient être discutés par des scientifiques sans que pour autant une conclusion exploitable pour fonder une éthique de vie puisse être trouvée. Ce n’est de toute façon pas le but de la science moderne dont la finalité utilitariste est extrêmement restreinte : rarement la connaissance pure, comme dans les recherches fondamentales, ou un choix de vie, comme en philosophie ; mais plutôt des découvertes aptes à être utilisées techniquement dans la production de biens ou l’exploitation des connaissances par l’industrie.

C’est là un des inconvénients de la science moderne : une fois constatés les effets par des moyens mécaniques (rationnellement, car on fait peu de cas de l’approche humaine du fait de sa subjectivité), l’explication des causes tient du postulat et se limite à des applications à finalités industrielles ou lucratives ; mais de toute manière rejetant toute notion de subjectivité ou d’art de la part de celui ou de celle les mettant en œuvre. Les sciences appliquées n’ont depuis longtemps plus aucun lien avec la philosophie et plus généralement les sciences humaines. C’est également d’exception que les innovations soient censurées par des comités de sages ou des institutions démocratiques dûment éclairées. C’est à ce titre, nous avons rappelé dans notre ouvrage « Reiki, médecine mystique du Dr Usui », que la séparation entre science et conscience, raison et mystique, est typiquement occidentale et moderne. Elle pourrait aussi être utopique ; voire impossible.

Pour le Dr Mikao Usui, un rationaliste détenteur d’un diplôme de médecine allopathique occidentale de la fin du 19ème siècle et un mystique amateur d’ésotérisme nippon, comme le rappelle sa stèle funéraire au temple de Saihoji, cette scission n’existait sans doute pas. Science et conscience allaient de pair pour lui.

En conséquence, si, dans ce nouvel ouvrage, nous ne ferons pas allusion aux traditions spirituelles, nous proposons tout de même au lecteur de visiter les liens probables, tels qu’ils sont établis de nos jours par la science, entre la santé et la conscience.

Notes.
1. « Guérison par le Reiki: ni matière, ni énergie: seulement être », extraits de la présentation faite au réseau scientifique et médical de Cortona par le Docteur Lucas Barbéris, médecin spécialiste en chirurgie cardiaque et maître Reiki. Contact : Dr Lucas Barbéris, Universita di Genova, Cattedra di Cardiochirurgia, Osp. S. Martino, Monoblocco V, P. Largo R. Benzi 10, I-16132 Genova, Italia. Source : http://www.reikitibetain.com