Formations par demi-journées

Bonjour,
Je suis maître Reiki et je souhaite savoir si certains d'entre vous donnent des formations en soirée, au lieu de le faire en stage de week-ends.

Dans ce cas, quel est l'espacement de vos séances :
4 soirées consécutives étalement sur plus d'une semaine ?

Ma question est relative aux initiations (les 4) du premier degré. Il me semble qu'elles devraient être proches les unes des autres.

Amicalement

Bonjour Patricia,

Je ne suis pas maitre reiki, mais ton idée me semble difficile à mettre en oeuvre: en effet, lors de la première initiation, un grand temps est accordé à la "mise en phase des participants" (peut-être y a til un autre terme, mais je ne connais pas). Cela se fait aussi le lendemain matin.
D'autre part, l'intensité de la formation est telle que ça doit être dur de supporter ça après une journée de boulot, d'autant que, pour être efficace, il faut s'accorder au moins 3 à 4 heures de réunion.

Enfin, c'est mon petit avis, mais je le rappelle, je ne suis pas maitre reiki, j'essais seulement de transposer ce que j'ai vécu lors de ma première initiation.

A bientôt,

Bonjour Annick,
Tes remarques sont très judicieuses, et je pense comme toi.

Mais je sais que cela se pratique, alors je voudrais savoir comment les maîtres s'organisent.

Je t'embrasse

Bonjour Patricia,

J'enseigne sur 2 jours, et j'avoue que 3 seraient souvent nécessaires ! Alors que dire de 4 soirées ? Tout dépend du contenu de la formation. Si aucune base culturelle et historique du Reiki n'est enseignée, ni méditation, ni TJR, qu'il n'y a que l’étude du soin sur soi et autrui, et transmission des initiations - il n’y a pas de temps préétabli entre chacune d'elles, alors pourquoi pas ?

Hayashi a été le premier à enseigner le niveau Shoden sur 5 jours, je crois, et seulement durant quelques heures dans la journée. Ses enseignements étaient accés sur le soin.

Au Japon, Hyakuten Inamoto, le fondateur du Komyo Reiki Kai, enseigne le shoden et l'okuden en 4 heures.

Bisous,
Corinne

Bonjour Corinne,
Effectivement, je suis d'accord avec toi, moi aussi, j'enseigne tout ce que tu décris en deux jous bien pleins.
Une soirée peut être 17h-22h auquel car c'est déjà long.

Ma question concernait les énergies, le fait que cela soit sur plus de deux jours.

Je t'embrasse.

Entre temps, j'ai modifié mon message , hihi !

En soirée, personnellement, je n'aurai vraiment pas l'énergie nécessaire pour enseigner.

Bisous,
Corinne

Merci Corinne pour ces précisions.
C'est vrai que le soir, c'est un peu difficile, pour les élèves surtout, puisque je n'ai pas d'autre métier.

Mais certains ne peuvent se libérer le week-end.

Bisous et belle journée de lumière et d'amour.

hello,
pour ma part, j'ai bien aimé enseigner en soirée lorsque j'étais en arles.
on commençait à 18 heures pour finir à 22 mais généralement, on était encore là à 2 heures du matin. je faisait cela en trois soirées, ou quatre.
c'étaient des moments merveilleux de pratiquer la nuit ...
donc pourquoi pas.
de même, j'ai eu des initiations bouddhiques qui duraient 24:00 non stop, des puja, c'était doux et unique.
je crois qu'il est possible, si on le souhaite, de s'adapter aux besoins des élèves. mais si on fatigue le soir, mieux vaut éviter.

Bonsoir Ulysse,
J'aime aussi les énergies de la nuit.
Ma question portait sur l'espacement entre les différentes initiations du premier degré, si on fait plusieurs formations en soirée.

amicalement

PatriciaG a écrit:

Ma question portait sur l'espacement entre les différentes initiations du premier degré, si on fait plusieurs formations en soirée.

Je pense qu'il n'y a pas de temps pré requis entre chaque initiation. Fais comme tu te le ressens, Patricia, et ne t'inquiètes pas.

Bisous,
Corinne

Bonjour,
Quoi qu'il en soit, merci à tous d'avoir partagé vos impressions avec moi.

Bien amicalement

PatriciaG a écrit:

Bonjour,
Quoi qu'il en soit, merci à tous d'avoir partagé vos impressions avec moi.

Bien amicalement

le danger est que les élèves oublient entre chaque partie mais l'avantage est de leur laisser le temps de digérer le coup de massue d'informations du premier degré. pour une personne ordinaire, c'est un saut dans le vide très déconcertant. les étudiants ont bien du courage.

Bonsoir Ulysse 31,
Un saut dans le vide ou dans la lumière, certes.
Cela dit, les ressentis sont très variables, mon premier degré m'a apporté beaucoup moins de sensations déconcertantes que le troisième ou la maîtrise.

Amicalement.

Patricia

PatriciaG a écrit:

Bonsoir Ulysse 31,
Un saut dans le vide ou dans la lumière, certes.
Cela dit, les ressentis sont très variables, mon premier degré m'a apporté beaucoup moins de sensations déconcertantes que le troisième ou la maîtrise.

Amicalement.

Patricia

kiss