Je vous livre une petite remarque sur la pédagogie.
Je sais que l’on peut en faire une bibliothèque la dessus hihi, mais j’ai choisi l’approche ci-dessous parce qu’elle me semble utile dans le cadre d’un petit échange sur la communication.
Surtout en direction des enseignants ou des personnes d’expériences répondant à nos amis novices.
Mais aussi, peut être utile à ceux qui organise des formations et qui veulent ce prendre un peu la tête…..
(je post dans cette rubrique : libre échanges pour sortir de : la vie du forum, bien que cela à un rapport évidement)
Pédagogie…..
Quand ont est passionné, quand ont à mené une réflexion ou étudié une matière, quand ont à de l’expérience et que l’on décide de faire connaître tout cela, il y à un piège à éviter.
Vouloir dire tout et tout le temps…..(ou vouloir tout démontrer, à tout propos)
C’est une démarche naturelle et généreuse, mais bien souvent contre productive.
Le lecteur ou l’élève selon l’endroit, sera submergé d’informations et bien qu’il lira la totalité, il ne s’appropriera pas l’ensemble.
S’approprier, c’est comprendre un argument (élément) de l’évaluer et être capable de l’utiliser de façon autonome dans un autre contexte (ou sujet) ou encore de l’écarter en connaissance de cause.
Organiser le rapport élève-matière enseigné, s’appelle la pédagogie.
En théorie dans un enseignement idéal, ont peut utiliser l’image de l’escalier pour illustrer ce rapport.
Le bas de l’escalier est le niveau ou l’élève est naïf en la matière.
(je ne dit pas niveau zero, car tout le monde à au moins « entendu parlé », à une opinion ou c’est formulé un objectif, une motivation. Je dois également prendre en compte que cet personne à d’autres savoirs, d’autres connaissances qui vont l’aider, l’influencer.)
Il faut donc s’organiser pour connaître (évaluer) le niveau de départ de l’élève
Le haut de l’escalier est le but final, la maîtrise, l’autonomie. L’élève est capable non seulement de pratiquer, mais d’expliquer la matière de la théoriser.
Les marches de cet escalier, sont autant d’étapes (d’objectif) intermédiaires.
Ce sont les contenus, organisés de façon progressifs. Connaissances, pratiques, temps d’intégration, exercices, expériences etc. (comme les degrés en reiki et pour chacun les contenus).
L’enseignement, c’est donc de définir le nombres de marches et surtout leurs qualités.
Car, si les marches sont trop hautes, l’élève est en situation d’échecs.
Il risque de ce démotiver, de s’embrouiller, d’abandonner, de ce dévaloriser finalement.
Le mauvais enseignant, classera son élève dans les nul, alors qu’il est seul responsable de l’échecs.
Et si les marches sont trop basses, l’élève va courir… Il risque de dévaloriser l’enseignement, de trouver ça chiant, de ne pas prendre le temps de s’approprier la matière.
Et quand il arrivera prêt du but final, il ce rendra compte qu’il lui manque les bases, les fondamentaux.
La bonne marche, devra donc mettre l’élève en condition de réussir, tout en présentant un challenge motivant à sa porté (entretenir la motivation, l’intérêt). Un progrès concret, mesurable, utilisable.
Cette petite illustration ce revendique d’une pédagogie dite « évolutive », qui place au centre l’élève et non la matière enseigné. Cela demande à l’enseignant un effort permanent d’adaptation , ce qui rend sont activité passionnante.
Par contre cela disqualifie, ceux ne maîtrisant pas réellement leur sujet ou n’ayant pas eux même suivie une formation complète.
En communication.
Ont peut utiliser cette illustration pour ce questionner sur la qualité de nos articles, écrits ou débats.
Si j’utilise tel argument, telle illustration ou exemple, telle démonstration… Cela ne risque t’il pas de centrer l’attention hors propos ? de provoquer un débat (ou une polémique) hors sujet ? Mon vocabulaire est il compréhensif ? Etc. C’est la marche trop haute.
Mais si je dit que des banalités, des redondances de choses déjà mainte fois expliqué ou exprimé correctement, complètement ailleurs (article de référence par exemple), alors la marche est trop basse.
Je parle ici aux enseignants ou à ceux possédant une expérience à partager pour essayer de contribuer à une façon plus optimal d’échanger. Dans le respect de tous les participants.